Chaire d'Haïti à Bordeaux CIRESC CNRS : 2e trimestre 2014
Toussaint Louverture. Le Grand Précurseur
Auteur : Jacques DE CAUNAFaçonnage : broché
Nombre de pages : 338
Format : 14,5 x 22,5
Isbn : 978-2-8177-0216-2
Peu ou mal connu en France, Toussaint Louverture, père fondateur de la première République noire du monde, l’actuelle Haïti, est une fi gure emblématique mondiale de l’émancipation des esclaves et des décolonisations.
Cette biographie permet de mieux comprendre une personnalité exceptionnelle. Entre mythifi cation et réalité historique, à l’heure des révolutions des pays du Sud, la vie et les combats de Toussaint Louverture sont d’une étonnante actualité mémorielle, politique et sociale.
Célébré dans de nombreux pays, il n’est pas étonnant qu’il ait été comparé à Bonaparte, au point que Chateaubriand a pu écrire : « Le Napoléon blanc a imité et tué le Napoléon noir », et Lamartine : « Cet homme est une Nation ».
Qui êtes-vous, Monsieur Toussaint ?
1. Le Napoléon noir : des représentations héroïques ou diabolisées dès l’origine
2. La plus belle des colonies ?
3. Sur la sucrerie Bréda du Haut-du-Cap : légendes et réalités
4. La face cachée : Toussaint Bréda entre trois mondes, trois cultures
5. Toussaint et les Gascons
6. Dans l’ombre de l’insurrection : Spartacus noir ou deus ex machina
7. L’irrésistible ascension vers le pouvoir personnel : du service de l’Espagne à celui de la République
8. La guerre du Sud. Toussaint Louverture et la question de couleur
9. Le Premier des Noirs et les derniers jours de l’État louverturien
10. L’expédition Leclerc, les Mémoires et le martyre du fort de Joux
Conclusion. Le Grand Précurseur
Annexe 1. Petite chronologie comparée Toussaint-Bonaparte
Annexe 2. Généalogies
Annexe 3. Les traces de Toussaint à Bordeaux et dans le Sud-Ouest
Sources (indications sommaires)
Bibliographie (sélective)
Index
Né à Bordeaux, Jacques de Cauna a séjourné pendant 25 ans dans divers pays de la Caraïbe où il a occupé des fonctions de professeur et de diplomate. Docteur d’État, commandeur de l’Ordre national d’Haïti, il est aujourd’hui chercheur associé au conseil scientifi que du Centre international de recherche sur les esclavages du CNRS et titulaire de la chaire d’Haïti à Bordeaux. Il est l'auteur de nombreuses publications parmi lesquelles Au Temps des Isles à Sucre, prix de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer , qui a inspiré le prix Renaudot 1998.
Activités
Vendredi 4-samedi 5 juillet, Salon du Livre d'Hossegor
Jeudi 26 juin, Biarritz, Editions Atlantica, pour projet d'exposition CGL guerre de 14-18 à Dax.
Hendaye, 18 h, à l'invitation de Mireille et Eric de Caupenne
Lundi 23 juin, Mézos, à l'invitation de Geneviève Fabre, avec Jean-Denis de Biaudos de Castéja
Mercredi 18 juin, transmission iconographie communication Le cimetière intérieur de Port-au-Prince à Thomas Romon.
Vendredi 6 juin, Caumale et manoir de Joutan (Labastide d'Armagnac), à l'invitation de Geneviève Fabre et de SE M. l'ambassadeur d'Allemagne à Dacca (Bengla-Desh)
Mercredi 4 juin, Bordeaux, Hôtel de ville, 10h, rencontre avec M. Marik Fetouh, adjoint au Maire chargé de la Diversité, à sa demande, au titre de membre du Conseil. Projet d'exposition et prospective.
11h, Musée d'Aquitaine, concertation avec M. François Hubert, directeur, ptrojet d'exposition et dépôt de fonds d'archives personnelles.
Lundi 1er juin, conférence téléphonique avec le professeur Philippe Chareyre, responsable du laboratoire ITEM, EA 3002, IRSAM, de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour, dasn le cadre de la convention de coopération avec l'université Houphouët Boigny d'Abidjan-Cocody (Côte d'IVoire), dossier Arnaud Ahigro (doctorant).
La prétendue découverte de la Santa-Maria de Christophe Colomb
Un chercheur (de trésors !) américain, rebaptisé « explorateur sous-marin », voire « archéologue » par des médias complaisants, prétend avoir retrouvé les restes du navire amiral de Colomb à quelques lieues du rivage d’Haïti, par dix pieds de fond (3 mètres), au nord du village de Bord-de-Mer de Limonade et à une lieue et demie (6 kilomètres) du site présumé du fort de la Nativité érigé par Colomb en 1492 avec les débris de la Santa Maria
Ces restes seraient enfouis dans un « champ de pierres de 40 pieds sur 20 » (12 x 6 mètres, dimensions très inférieures à celles de la Santa Maria) constitué par l’ancien « ballast » du navire « naufragé » reposant sur une « fond sableux »[1]. Parmi eux, un « canon lombard », dont il ne reste qu’une « évidence photographique » datant de 2003, époque à laquelle il avait été mal identifié, et disparu (volé) depuis. Cette « extraordinaire découverte historique », « événement archéologique majeur », serait le fruit d’un « regard neuf » - il est même question d’une soudaine illumination nocturne – posé sur ses recherches antérieures et menant à de « nouvelles conclusions ».
Quelques raisons majeures s’opposent, à l’évidence, à l’acceptation de ces assertions :
- L’évolution du trait de côte dans cette zone depuis le 15e siècle. En raison de la présence de mangrove, il a avancé depuis cette époque et non reculé, autrement dit, la terre a gagné sur la mer, et non l’inverse. Ce qui explique la découverte au 18e siècle de l’ancre de la Santa Maria relativement loin à l’intérieur des terres (900 toises de la mer), dans une terre de rapport et à plus d’un mètre de profondeur (4 pieds), sur l’habitation, attestée par Moreau de Saint-Méry (I, 195-196) que l’auteur ignore autant que la conservation de cette ancre de plus de deux mètres de long (9 pieds 2 pouces) au Musée du Panthéon national haïtien.
- La direction Est-Ouest des courants, attestée par Herrera, qui va absolument à l’encontre de la dérive qu’il imagine (et représente sur sa cartographie manuelle) dans la passe de Limonade. Il donne un courant Ouest-Est, absolument impossible. Moreau de Saint-Méry dit très clairement que la caravelle a été « entrainée par les courants dans la nuit à une demi-lieue (marine) sous le vent (dans l’Ouest) de l’autre caravelle, c’est-à-dire de Caracol vers Limonade » et « avait péri à une lieue et demie (6 km) de la résidence de ce cacique Guacanagaric » en venant de l’Est. Et non l’inverse.
- Enfin, les éléments historiques fournis par le Journal de bord de Colomb qui dit clairement que le vaisseau s’est échoué (et n’a donc pas sombré) et, surtout, qu’il a été démantelé et entièrement vidé de sa cargaison pour établir le fort de la Nativité, clairement situé par Moreau de Saint-Méry qui dit qu’on en a trouvé les ruines à une lieue (4 km) de l’embouchure du Fossé de Limonade sur l’habitation Montholon. Pourquoi alors y aurait-on laissé un canon, si utile pour un fort ?
Sur le fond, aucun objet probant n’étant présenté, rien ne prouve, par ailleurs, que cette photo de canon, ou celle de l’amas pierreux, proviennent du site indiqué. Ni que l’emplacement du village indien de Guacanagaric ait été clairement localisé, ni que le site de la Nativité ait pu vraiment être retrouvé en 2003 (le fort était en bois) et n’ait pas été confondu avec celui de l’ancienne ville espagnole abandonnée de Puerto-Réal, envasée dans les mêmes parages et connue depuis les années 1980.
Tout semble indiquer, en revanche, dans la manière de procéder, que l’on se trouve en présence d’une opération de recherche de financements et d’obtention d’autorisations légales du gouvernement d’Haïti : pourquoi communiquer à la presse et non dans une revue scientifique ou par une demande officielle ? Et que dire du battage médiatique orchestré avec le soutien d’une chaine de télévision américaine ? Si navire naufragé il y a, il peut s’agir de n’importe quel autre bâtiment et l’explorer en toute tranquillité permettra toujours aux intéressés d’en ramener quelque chose…
Jacques de Cauna, docteur d’Etat (Sorbonne)
Chaire d’Haïti à Bordeaux Ciresc Cnrs/Ehess
[1] Les termes entre guillemets sont des traductions aussi littérales que possible des affirmations de l’auteur de la prétendue découverte.
Les Franco-haïtiens et l'appel du 18 juin 1940.
Encore un déni d'histoire !
Alors que l'on célèbre les cérémonies commémoratives du débarquement du 6 juin 1944 et que s'approchent celles de l'appel du 18 juin, on peut regretter à nouveau qu'Haïti, qui a tant besoin d'une vraie reconnaissance historique en France, ait été encore une fois oubliée dans les invitations. Voici ce que j'écrivais dans ce blog il y a quatre ans à propos de Tony Bloncourt, autre grand oublié franco-haïtien :
Alors pourquoi ce nouveau déni d’histoire, ce refus de le rendre à Haïti – qui a tant besoin aujourd’hui de reconnaissance en France – et aux Antilles en général, l’un de ses enfants héroïques, au même titre d’ailleurs que Philippe Kieffer, né à Port-au-Prince et ses 177 compagnons (les fameux « bérets verts »), parmi lesquels des franco-haïtiens, qui furent les premiers à poser le pied sur les plages normandes pour la libération de la France (voir ci-dessous la liste du comité de la France Libre d’Haïti d’après les souvenirs de Jean Fouchard) ? N’importe quel casuiste vous dira qu’il n’y a là qu’omission et que cela n’est pas mensonge. Et d’ailleurs, comme cette fois aucun personnage politiquement en vue ne s’en est encore mêlé en y apportant sa part spectaculaire de bourde historique (voir Mme Royal et l’affaire de l’Astran), il y a peu de chance que tout cela parvienne jusqu’aux grandes oreilles des médias… Ce qui ne serait pas très grave dans le fond s’il n’y avait derrière cette conjuration du silence méprisante et récupératrice tout un large public, et particulièrement toute une jeunesse, à nouveau manipulés et tenus dans une semi-ignorance propice à toutes les dérives dans un pays qui a quelque mal à apprécier l’autre dans sa différence.
Pour l’histoire. Le Comité des Forces Françaises Libres d’Haïti
d’après une communication orale de mon grand ami l’historien Jean Fouchard, transcrite en 1988 dans sa maison de Pétionville, à partir d’une fiche manuscrite qu’il tenait lui-même de son parent par alliance Ferdinand Fatton fils, impasse Claudinette à Pétionville (certains noms ont pu être déformés à l’oral ou dans la transcription, j’ai précisé ceux des familles de mes de mes anciens élèves du Lycée français. Il s'agit quasiment d'histoire orale. Merci de m’indiquer les éventuelles erreurs ou omissions).
Ferdinand Fatton, président
G. Vabre, volontaire à Londres
J. Brédeau, volontaire à Londres
C. Weill, mari de la sœur d’A. Silvera, fils du ministre
De Veyrac, marié à Jeanne Busch [d’une famille haïtiano-allemande], commerçant, chevalier d’industrie, garde-magasin à l’Electricité d’Haïti.
Pierre Nadal, petit neveu ou cousin de Robert Nadal père, parti en France pour participer aux combats et mort en France (famille de nos amis Nadal, Ti Robert, Olivier, et leurs parents)
I.-M. Epailly, Français de la compagnie American Cable [pose du cable sous-marin], père de Mme Péreira (épouse du consul, père de Michèle et Mélissa, mes élèves au Lycée français).
Jamel Assali, Libanais qui avait épousé une demoiselle haïtienne (père de mon élève Marie-Carmèle).
Yves Bloncourt père ( ?).
Chalom, Libanais.
C. Castéra
Caliste, des Cayes
R. Deuix, marié à une demoiselle Hirsch
Jean Froger, Français de passage [sic]
Jugie, restaurateur français rue Borno, maison Crepsac (à Pétionville, famille de mes élèves Emmanuel et Anne Crepsac).
Magny, directeur de la Compagnie Transatlantique
François Naudé, frère de Georges, commerçant
Paul Paquin, père de Lyonel (père de Raphaël, mon élève), tenait un magasin de tourisme appartenant à Mme Gaetjeens (de Pétionville).
Vabre, Chef du portefeuille à la Banque Nationale (avec Philippe Kieffer).
Ganot, parfumeur.
Khawly, commerçant libanais
Bouez, marchand de tissus libanais
Antoine Hage, commerçant libanais (voir Eddy Hage... dixit J. Fouchard, qui savait que nous étions amis)
Sarkis, Libanais, commerçant aux Cayes
Ch. Picoulet, produits alimentaires
M. Kieffer, frère de Philippe, à la Banque du Canada. Philippe Kieffer, avait eu deux enfants d’un premier mariage : un fils, Claude, mort à la guerre, et Maël, sa fille, nés à Port-au-Prince d’Anita Scott, sa fille employée à l’ambassade. Sa mère, veuve de Philippe Kieffer, son père. Arrivée avec Jacques Soustelle le 19 mai 1941, trois jours à Port-au-Prince.
Comeau-Montasse, commerçant
R. Nadal, commerçant avec son frère Joseph (famille de nos amis Nadal)
P. Gauthier, commerçant
Reiher, Alsacien, commerçant
G. Naudé, commerçant en café
Barini, Corse, rue du Quai
C. Barreire, garagiste
A. Barreire, fils, maison d’appareils électriques
La Quintrie, Français, représentant d’une grande maison de commerce
H. Odéïde, marié à une demoiselle Auguste remariée plus tard à Henri Borno (famille de nos amis Odéïde, René et son épouse, et des présidents Auguste et Borno, à Martissant et Pétionville, propriétaires de la plantation Fleuriau).
Faure, de la Hasco [Haïtain & American Sugar Compagny, siège à Chancerelles, Port-au Prince]
Marini, Corse, Hôtel Marini et Cabane Choucoune [terme haïtien équivalent de « carbet », célèbre dancing de Pétionville]. Son fil René, ministre du tourisme, marié à une fille du président Eugène Roy.
Géraldi, Corse.
Jean Fouchard conservait dans sa riche Bibliothèque haïtienne le texte de l’appel de Ferdinand Fatton (son parent par la famille de son épouse, les Vieux) pour le 1er anniversaire du 18 juin 1940, une photo de Ferdinand Fatton, décédé le 15 juillet 1973, un état des services et une biographie de Philippe Kieffer par M. Steiner, ainsi que son livre Les bérets verts, et des lettres et cartes adressées par le général De Gaulle et sa secrétaire bénévole, Mlle de Miribel. Il se souvenait que sous le président Vincent, dans les années 1935-1936, Philippe Kieffer était déjà âgé, « environ d’une cinquantaine d’années » [40 en réalité, né en 1899], grand amateur d’aventures galantes avec son ami intime à la Banque, Delva, et qu’il avait deux frères, Philippe et Marcel, et deux sœurs, dont l’une, Jeanne, à Londres.
Livres reçus
D'Hagetmau à Saint-Sever, de la correspondance amoureuse de Lou nouste Henric et de notre chère Corisande familiale à l'opéra du littoral landais, nos amis landais écrivent ! Merci à Alain Lamaison et Bertrand Duthil de nous faire partager avec tant de talent leurs émotions et leurs passions...
Activités
Lundi 1er juin, conférence téléphonique avec le professeur Philippe Chareyre, responsable du laboratoire ITEM, EA 3002, IRSAM, de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour, dasn le cadre de la convention de coopération avec l'université Houphouët Boigny d'Abidjan-Cocody (Côte d'IVoire), dossier Arnaud Ahigro (doctorant).
Mercredi 28 mai, Béziers, hôtel de la Société académique, archéologioque, historique et littéraire, 17h, dans le cadre de la Journée nationale pour la mémoire de l'esclavage, conférence : Les Aquitains et leurs plantations à Saint-Domingue. Mémoire et patrimoine de l'esclavage, à l'invitation de la Société Thomas-Guillaume Raynal et de son président M. Gilles Bancarel.
Lundi 19 mai, Mont-de-Marsan, Préfecture des Landes, 14h 30, dans le cadre de la Journée nationale pour la mémoire de l'esclavage, conférence éducative pour les lycées : Toussaint Louverture. Le Grand Précurseur, à l'initiative de M. le Préfet Claude Morel, avec la collaboration de l'Inspection académique des Landes, M. Lacombe, IA-DSDEN, et Mme Roumégoux, directeur de cabinet.
A l’invitation de Claude MOREL, préfet des Landes, trois classes de lycéens montois sont venus lundi 19 mai à la préfecture assister à une conférence donnée par le professeur Jacques de Cauna sur Toussaint Louverture
Dans le cadre de la commémoration de l’abolition de l’esclavage, Claude MOREL, préfet des Landes, les lycéens des établissements Duruy, Despiau et Wlérick, accompagnés de leur professeur ou de leur proviseur ainsi que M. Lacombe le directeur académique et Mme Roumégoux sa directrice de cabinet ont écouté le professeur Jacques de Cauna, docteur d’Etat (Sorbonne), chaire d’Haïti à Bordeaux, présenter "Toussaint Louverture, le Grand Précurseur".
Toussaint Louverture, né esclave, premier général de couleur de la République Française, participe à la révolution haïtienne dont il deviendra le héros après sa mort au fort de Joux (Doubs) en 1803 où il avait été déporté par Bonaparte.
Vendredi 16 mai, Bordeaux, Réception du professeur James Cameron Monroe, anthropologue, University of California, Santa Cruz, visite exposition permanente Musée d'Aquitaine et séance de travail sur projet de publication commune.
Jeudi 15 mai, Saint-Xandre (La Rochelle), salle socio-culturelles, 17h, dans le cadre de la Journée nationale pour la mémoire de l'esclavage, conférence Les Fleuriau et autres Rochelais et Charentais à Saint-Domingue, à l'invitation de M. Alain Robert, délégué Solidarité Laïque. Signature de l'ouvrage Au Temps des Isles à Sucre (1987, réédition 2003)
Mardi 13 mai, 10h30, remise des corrections des actes du colloque Dynamiques caribéennes, à Eric Bubesset, Université de Bordeaux, Montesquieu-Bordeaux IV, co-coordinateur du colloque.
Lundi 12 mai, Bordeaux, Musée d'Aquitaine, 18h, Vernissage de l'exposition de Marielle Plaisir, Les commodités de la conversation, à l'invitation de MM. Alain Juppé (maire de Bordeaux) et François Hubert (directeur du Musée).
Samedi 10 mai, Paris, Bordeaux, La Rochelle, cérémonies de la journée de la mémoire de l'esclavage, invitations de M. le Président de la République et de MM. les Maires de Bordeaux et La Rochelle.
Samedi 3 mai-vendredi 9 mai, préparation du Bulletin CGL 111-112 : articles "Anciennes familles landaises, les Darroze" et "Le chevalier de Borda a t-il enfin un visage ?", informations scientifiques et culturelles, relecture globale sommaire et articles.
Vendredi 2 mai, Bordeaux / Côte d'Ivoire, signature et envoi de l'accord cadre de coopération en matière de formation universitaire avec l'Université Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan à Cocody (Côte d'Ivoire)
Vendredi 25 avril, CGSO, Bordeaux, Hôtel des Sociétés Savantes, 1, place Bardineau, 18h30, conférence : L'aïeule landaise de l'Europe. Pierre Benoît, Koenigsmark et Anne de Cauna.
Vendredi 25 avril, Musée d'Aquitaine, rencontre de travail avec Erice Dubesset pour publication à venir des actes du colloque Dynamiques caribéennes aux Presses Universitaires de Bordeaux.
Vendredi 18-mardi 22 avril, consultation / expertise et recherche et rédaction article inédit pour la Revue de l'Agenais
(à paraître prochainement)
Lundi 14 avril, communication scans actes famille Darroze à Campagne (40) à M. Jean Reina (Hossegor).
Jeudi 10 avril, Université du Temps Libre de Dax, à l'invitation de Mme Monique Maille, 15h, conférence : L'aïeule landaise de l'Europe. Pierre Benoît, Koenigsmark et Anne de Cauna.
Communication familles Delisle / Dumolié (portraits à identifier).
Lundi 7 avril, Saint-Louis de Monferrand, château La Palanque, réception par Caroline Lamppre, en compagnie de Geneviève Frabre (château de Caumale), à l'initiative d'Anne Marbot (AFAQ). Archives familiales Bigorre, Saint-Domingue, Louisiane.
Vendredi 4-dimanche 6 avril, Escale du Livre de Bordeaux, de 16h00 à 17h00, au Salon littéraire : Grande rencontre « La littérature caribéenne » avec Olive Senior (Jamaïque / Angleterre, Un pipiri m'a dit), Jacques de Cauna (Haïti / Bordeaux, Toussaint Louverture. Le Grand Précurseur, et Louis-Philippe Dalembert (Haïti / Italie, Ballade d'un amour inachevé), rencontre animée par Olivier Caudron (BM Bordeaux)
Présentation et dédicace de l'ouvrage Toussaint Louverture. Le Grand Précurseur
de 14h00 à 15h45 : Dédicace sur le stand des PUB (Presses Universitaires de Bordeaux, L35)
A lire

Familles en cours d'étude : Ledoulx de Sainte-Croix (Bordeaux, Tartas, Landes), d'Hostein (Tartas, Saint-Domingue), de Tarragon (Guadeloupe, Missouri, Tartas), Ducamp d'Orgas (Tartas, Landes), Delisle, de Molié, Dumoulié (Cuba, Escalans, Landes, Cazaubon, Gers), Lampre, d'Abbadie (Saint-Domingue, Saint-Louis de Montferrand, Gironde, Tarbes, Bigorre), d'Artaguiette d'Iron, d'Harriet (Pays Basque, Louisiane), Lanusse (Orthez, Louisiane), Laffite, You, Beluche (Gascogne, Charentes, Louisiane, Venezuela), Acquart, Vignes (Bordeaux, Blanquefort, Jacmel, archives familiales), de Dufourcq de Membrède, de Ribeaux, de Heredia, Girard, de Casamajor (Béarnais de Cuba, 19e s., Arthez-de-Béarn, Orthez, Sauveterre), Habas, Jourdelle (Labastide-Villefranche), Victoria, Mendès (Bordeaux, Antilles, familles sépharades, demande de la Drac Aquitaine), de Cauna de Poyloault, de Ségur, d'Escodéca de Boisse (Landes, Bordeaux, notariat 16e, Jacques de Cauna, baron de Poyloault, pièce inédite), de Navailles, de Navailles-Labatut, de Navailles-Banos, de Navailles-Sirgos, de Navailles-Bonnas (Dumes, Landes, Béarn, Bigorre, Saint-Domingue, archives familiales, comte de Navailles), Saint-Macary (Auterrive-du-Gave, Saint-Marc, Saint-Domingue), de La Valade du Repaire de Truffin (Périgord, La Rochelle, Saint-Domingue, Cuba, Matanzas, Camaguëy, La Havane), Peyrucain, Lafourcade, Pédelucq, Darricau, Darricau de Traverses (St-Martin de Seignanx, Pouillon, Tartas, Etats-Unis), Labadie, Laroque (demande haïtienne), Lassaigne, Bertel (Périgord, Champagne), Chemisson-Lassaigne, Hauquiez (Saint-Domingue), Dubreuil de Fontreaux, La Croix de Ravignan (Charentes, Landes, Saint-Domingue), Grand de Chateaublond, Caradeux, Fleuriau, Boissonnière (Saint-Domingue, demande canadienne), Delisle, Duverger, Gallien de Préval, Raynal, de Mons d'Orbigny, Morel, Ducis, Dufourcq, Lentilhac de Sédières, Favier (Saint-Domingue, Nouvelle-Orléans), de Villeré, Villoutrey de Brignac, Duverger, Préval, de Mons d'Orbigny (Louisiane), Laffite, You, Humbert (La Nouvelle-Orléans), Duvergé (République Dominicaine, Louisiane), Preval, Morel, Ferrer, Ulecia Cardona (Cuba), Truffin, Sarria (Cuba, Camaguëy), Deniau (La Réole, Haïti), Taillade (Montauban, peintre), Guillon, Guillon-Léthière (Paris, Guadeloupe), Pirly (Le Dondon, Saint-Domingue, demande de Mme Michèle Nahon), Lescar, Péfaur, d'Arthez-Lassalle (Béarn, Landes), de Monck d'Uzer (Bigorre, Saint-Domingue, alliance de Cauna), de Marque (Tartas, Saint-Domingue, alliance de Cauna), de Montesquiou, d'Artagnan, d'Astarac de Fontrailles (Gers, alliance de Cauna), de Cauna de Dorro, du Lys, de Périsser, de Hoo, de Brassalay (Bougarber, 64)